« Il a marqué notre imaginaire probablement parce qu’il y avait juste un arbre le long de la route. L’érable a été coupé, mais ça ne fait pas ben ben des années. […]
– Il ne faut pas oublier qu’ici [“Saint-Louis”], c’était des champs à perte de vue, ce n’était que de la culture dans ce temps-là.
– L’Érable, on le voyait de loin et tout le monde le connaissait.
– Notre géant au milieu de la route1! »
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AUDIO
Entrevue réalisée auprès de Nicole Thériault, 24 mai 2017.
Un souvenir disparu.
* Quand Mme Thériault fait référence « au 3, au 4, au 5, au 6… », elle désigne les rangs situés dans les hauteurs, loin derrière la route principale.
Entrevue réalisée auprès de Donald Falardeau, septembre 2017.
Un érable comme point de repère.
NOTES
1 Rose-Aimée Leblanc (ancienne résidente du rang Biron) et Gilbert Litalien (propriétaire d’une maison dans le Vieux-Saint-Louis), conversation, propos recueillis par l’artiste, octobre 2015.
IMAGES
1. Archives de Robert Leblanc, ancien résident.
2. Marie-Claude De Souza. Vue en descente. Cette photographie a été prise en 2015 alors que l’érable a été coupé depuis longtemps déjà. À proximité, se trouve toujours une ligne électrique.
3. Archives de Robert Leblanc, ancien résident.
