Plusieurs artères ont des surnoms qui démontrent l’attachement que les Montréalais éprouvent pour leurs grands-rues.
« Dans le cas de la rue Saint-Denis, c’est dans la manière de la dire… “Saint-D’nis”. Quand on utilise un diminutif, ça sonne plus intime. Sortir dans le coin du Quartier Latin, c’est spécial. “On sort sur Saint-D’nis”, on va rejoindre des amis1. »
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NOTES
1 Propos d’une participante anonyme.
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1. Archives de la Ville de Montréal. VM94-A0398-002. Henri Rémillard, rue Saint-Denis, 6 octobre 1966.
