Si les dames qui faisaient le lavage avaient le malheur de laisser leurs vêtements propres sur la corde à linge au moment où passait le train, tout était à refaire tellement la fumée et la suie salissaient.
Depuis des années déjà, cet homme se livre à son petit commerce, métro Lionel-Groulx, fleuriste à ciel ouvert.
En 1964, un quartier populaire au pied du pont Victoria, que l’on pourrait localisé aujourd’hui dans un secteur de Pointe-Saint-Charles, « est emporté par le vent de modernisation qui souffle sur Montréal ».
C’est une usine abandonnée et, quand tu rentres là-dedans, ça ne sent pas la rose.
La rue Notre-Dame, c’est connu depuis les temps immémoriaux, dans Saint-Henri, on l’appelle affectueusement « La Dame ».
C’est une désignation nouvelle qui a émergé des résidents habitant à proximité de l’emplacement des premières tanneries construites à Montréal.
Le TA Wall était un « lieu mythique » pour les graffiteurs montréalais, « une véritable galerie d’art à ciel ouvert. »